lundi 14 mars 2016

Pourquoi les bébés allaités sont si intelligents? MAITRE MARABOUT SASSOU

Pourquoi les bébés allaités sont si intelligents? MAITRE MARABOUT SASSOU
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Les auteurs de la Brigham Young University l’écrivent, leur étude démontre « pourquoi les bébés allaités au sein sont si intelligents ». Ces enfants obtiennent de meilleurs résultats aux tests de QI et de meilleurs résultats scolaires. Mais pour quelles raisons ? Deux facteurs majeurs sont invoqués, avec ces conclusions publiées dans le Journal of Pediatrics : Une réponse plus importante aux signaux émotionnels de l’enfant et l’apprentissage de la lecture à partir de 9 mois, deux comportements parentaux étroitement associés à l’allaitement maternel.
Ce serait en quelque sorte 2 attributs invisibles des mères qui allaitent leurs bébés qui constitueraient la source essentielle de ce coup de pouce cognitif, écrit Ben Gibbs, sociologue à la Brigham Young University et auteur principal de l’étude.
« C’est vraiment la parentalité qui fait la différence « , ajoute-t-il, « l’allaitement façonne les autres comportements parentaux, développe un meilleur mécanisme de réponse à l’Enfant et renforce la confiance des parents sur leurs interventions auprès de l’enfant (…) Même un petit coup de pouce peut favoriser le développement et la trajectoire scolaire d’un enfant ».
Son équipe a analysé les données de 7.500 mères et leurs enfants, suivis, dans le cadre d’une cohorte nationale, de la naissance à 5 ans. Les données décrivaient l’environnement de vie de l’enfant et l’ensemble des interventions des parents, dont la façon et la fréquence avec lesquelles les parents pouvaient lire des histoires à leurs enfants. Les chercheurs ont également analysé des vidéos de chaque mère effectuant différentes activités avec son enfant. La sensibilité maternelles aux signaux émotionnels de l’enfant a été évaluée.
Il existe une relation positive entre l’allaitement maternel pendant 3 mois ou plus et les compétences de l’enfant en lecture, vers l’âge de 4 ans, mais ce lien est le résultat de comportements parentaux de soutien, et de niveaux d’éducation plus élevés, en général, chez les femmes qui allaitent. En fait, les auteurs n’identifient que peu de relation directe entre les pratiques d’alimentation testées et le développement cognitif des enfants. En revanche, les comportements associés, comme une sensibilité élevée aux signaux émotionnels et le temps passé à lire aux enfants optimisent le développement du cerveau de l’enfant, sur la période décisive de 2-3 mois à 4 ans.
Ainsi, faire la lecture à un enfant chaque jour dès l’âge de 9 mois et rester à l’écoute de l’enfant, plutôt que l’allaitement en soi, sont des comportements prédictifs significatifs des compétences à l’âge de 4 ans. En revanche, les enfants privés de cette parentalité dans la petite enfance, ceux en particulier de mères célibataires ou ayant des parents à faible niveau d’éducation, donc moins formés aux meilleures pratiques parentales, sont plus à risque de plus faible Q.I. ou de mauvais résultats scolaires.
Ces boissons qui favorisent la grossesse MAITRE MARABOUT SASSOU
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Vous avez pratiquement tout tenté pour tomber enceinte mais toujours rien. Avez-vous essayé de boire…
Des rechercheurs américains ont découvert à travers des études que certaines boissons favorisaient la grossesse et que d’autres par contre réduisaient vos chances de tomber enceinte.
En effet, ces études ont conclus que les boissons gazeuses surtout le Coca-cola, ne favorisaient pas du tout la grossesse. Par contre, il y a une boisson miracle qui toute ne garantie pas à 100% la grossesse ! Il s’agit du thé. Les buveuses de thé auraient de chances en plus d’avoir un bébé par rapport à celles qui n’en boivent pas. Il vous suffit donc de boire deux tasses de thé par jour pour augmenter vos chances de tomber enceinte de près de 30%. Cette étude se base sur 3 600 femmes qui ont essayé activement d’avoir un bébé. Les antioxydants du thé seraient bénéfiques tant aux femmes qu’aux hommes.
La Peur De L’échec : Comment S’en Débarrasser? maitre marabout sassou
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Bien entendu , échouer est sûrement la pire chose que chacun craint dans toutes activités.
L’échec est perçu comme le reflet de tout ce qui est négatif, mal et péjoratif. Pourtant, l’échec est utile pour pouvoir réussir. Ceci dit, tout le monde a passé par un échec. Le plus important est de savoir s’en relever.
Quand l’échec devient une réussite…
Tout le monde a déjà dû vivre un échec dans sa vie. Les personnes qui ont réussi dans leur vie, dans leur entreprise ou dans les affaires ont sûrement vécu cette phase de la vie. Pourtant, ils s’en sont sortis vainqueurs. Comment ont-ils fait pour y parvenir? Le secret est d’apprendre de ses échecs et de réussir à coup sûr. Notre échec nous apprend des choses et nous forme pour devenir l’élite de demain.
Goûter à l’échec c’est oser. Dans la vie, soit on gagne soit on perd. Ainsi, pour gagner il faut savoir perdre. Il faut également oser le faire. La peur de l’échec conduit à bloquer l’initiative des gens qui en sont atteints. Ils n’agissent pas librement et le doute survient. Évidemment, tout le monde a peur d’en perdre gros. Mais comme on dit, « celui qui risque gagne ». On doit oser perdre pour gagner. Il faut tout de même penser à calculer les faits et gestes avant de se lancer. Au final, ce qui est bien c’est d’apprendre de ses échecs et s’en remettre.
Comment se débarrasser de l’échec?
L’échec est une peur enfouie au fond de notre subconscient. Afin de s’en débarrasser, il faut tout d’abord dégager la peur elle-même. La peur est un frein au développement et à l’épanouissement. Ainsi, pour renoncer à l’échec, entourez-vous de gens positifs, mais également de pensées positives tels que des citations et proverbes motivants. Ils vous soutiendront dans tous vos projets. Il faut savoir également oublier ses peurs passées afin de réaliser ses rêves.
Pour pouvoir s’en débarrasser définitivement, la meilleure chose à faire est d’aller vers l’échec. De cette façon, vous apprendrez mieux, vous réfléchissez mieux et vous réagirez mieux face à tout cela. Le plus important après un échec c’est savoir se remettre en piste et affronter la réalité en face. Aller vers l’échec paraît insensé, mais c’est la meilleure des solutions. Une fois remis sur pied, vous aurez en tête la route vers la réussite. L’échec n’est plus à craindre pour vous.
Se débarrasser de la peur d’échouer demande à se surpasser intérieurement. Tout succès est ponctué d’échecs temporaires. Alors, qu’attendez-vous pour agir face à cela?
Leadership : Sommes-Nous Tous Faits Pour Devenir Leader  MAITRE SASSOU VOYANT
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Vous avez toujours rêvé d'être un leader, un manager écouté, légitime et à l'autorité naturelle, mais êtes-vous vraiment fait pour cela ? Et si non, est-ce si grave que ça ? Les réponses d'Eric-Jean Garcia, chercheur-conseil en sociologie du leadership.
Tout le monde peut-il développer son leadership ? La question mérite d’être posée au vu du nombre croissant de formations, de dispositifs de coaching et d’ouvrages dédiés à cette question. Implicitement ou non, la majeure partie des propositions en la matière considère que oui. Sur un plan commercial, cette posture est compréhensible. Mais les sciences sociales et l’exercice concret du pouvoir managérial dans les organisations ne disent pas tout à fait la même chose et ce pour au moins deux raisons :
1. Avoir du leadership ne signifie pas la même chose pour chacun de nous
Qu’entend-on par leadership ? Comme je le démontre dans mon dernier ouvrage (Le génie du leadership : mythes et réalités de l’action managériale, Éd. Dunod), la définition du leadership ne va pas de soi. Par exemple, qu’attend-on précisément de celui ou celle censée avoir du leadership ? S’il s’agit en général d’atteindre des objectifs et des résultats, ceux-ci sont toujours dépendants des domaines, des secteurs et des métiers.
De plus, il faudrait également parler de la façon dont ces objectifs et ces résultats doivent ou peuvent être atteints : là encore celle-ci diffère en fonction de chacun.
Enfin, la capacité de mobilisation des équipes vers des objectifs ne constitue qu’un aspect du leadership. Car, avoir du leadership utile veut aussi dire viser un objectif commun ambitieux et moralement irréprochable.
En somme, un leader doit à la fois :
- Obtenir des résultats, c’est-à-dire rendre le collectif capable d’atteindre les objectifs fixés et donner corps à l’idée selon laquelle « seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». 
- Utiliser des moyens éthiques, c’est-à-dire atteindre des objectifs ambitieux de façon respectueuse de la personne humaine en considérant que la façon de faire compte autant que les résultats. 
- Garder à l’esprit la finalité morale, c’est-à-dire la détermination à préserver la respectabilité et l’équité de l’action collective pour que l’intérêt de l’organisation ne soit jamais en conflit avec l’intérêt général.
En pratique, les réponses à ces questions ne peuvent être que spécifiques à chaque organisation tant les contextes et les enjeux sont différents, y compris à l’intérieur d’un même secteur d’activité.
2. L’ambition ne vaut pas prédisposition
Tous ceux qui ont une expérience significative en management savent bien qu’il existe une différence notable entre « avoir l’ambition d’être un leader » et « avoir les prédispositions nécessaires pour exercer un leadership ». Autrement dit, l’envie de prendre un poste qui requiert du leadership est certainement une condition nécessaire mais pas suffisante pour réussir.
Ce qui est alors fondamental est de se dire que le leadership a toujours besoin d’un contexte pour se révéler. Avec des formations ou en faisant du coaching on peut sensibiliser et aider à comprendre ce que sont les enjeux du leadership, on pourra travailler sur la motivation, mais comment espérer révéler d’inexistantes prédispositions ? Ici, l’écart entre la théorie et la pratique est gigantesque.
Dans la démarche visant à développer le leadership de collaborateurs, il est toujours plus judicieux d’identifier les prédispositions au leadership en les confrontant progressivement à la réalité du management de l’action collective dans des contextes opérationnels, riches en expériences.
Enfin, soulignons qu’il existe une diversité d’ambitions dans les organisations, lesquelles se focalisent trop souvent sur les plus managériales d’entre-elles. Car, les postes requérant du leadership ne constituent pas l’unique voie pour se réaliser professionnellement. Par exemple, lorsqu’une personne refuse de prendre un poste de manager d’équipe, cela ne veut pas forcément dire qu’elle manque d’ambition professionnelle.
Cela peut tout simplement vouloir dire qu’elle se connaît bien et qu’elle a conscience que ce rôle ne correspond pas à ses prédispositions ou envies personnelles. C’est ainsi que certaines personnes préfèrent développer une expertise dans un domaine particulier et que d’autres, s’épanouissent davantage dans le rôle du « team player », c’est-à-dire comme membre actif d’un collectif dont elles partagent les valeurs et le projet final.

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