lundi 14 mars 2016

Le meilleur et le pire moment de l’année pour concevoir un bébé maitre sassou

Le meilleur et le pire moment de l’année pour concevoir un bébé maitre sassou
Vous espérez tomber enceinte? Chouette, c’est justement le bon moment. Une nouvelle étude publiée dans le magazine Science annonce que les bébés conçus durant l’été sont en meilleure santé que ceux conçus à d’autres moments de l’année.
Le pire mois pour concevoir un enfant est le mois de mai. Les bébés ont plus de risques de naître prématurément et du coup d’avoir un système immunitaire faible et des capacités d’apprentissage plus lentes.
Les meilleurs mois pour faire un bébé sont juin, juillet et août. Les femmes qui ont conçu leur enfant ces mois-là ont accouché de bébés de 8 grammes de plus que la moyenne.
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Rebondir après un chagrin d’amour MAITRE MARABOUT SASSOU
Rebondir après un chagrin d’amour
Passez les larmes et la douleur, cette épreuve dans laquelle nous croyons mourir nous aide aussi à grandir. Elle nous éclaire sur nos capacités de résistance face à la séparation comme sur notre aptitude à trouver, peu à peu, notre autonomie
Submergé par la peine, perdu dans un monde en ruine, dévasté… Il est bien difficile d’envisager les bénéfices secondaires du chagrin d’amour qui nous emporte. Et pourtant… ne serait-ce pas aussi l’occasion d’une renaissance ? Nous avons avant tout immensément mal. Bien au-delà, souvent, de notre amour déchu. À croire que nous perdons beaucoup plus qu’une âme soeur. « L’être humain a une grande difficulté à se définir par lui-même, observe la psychanalyste Valérie , auteure de Dits de divan (L’Harmattan, 2010). La relation amoureuse lui donne, justement, l’illusion d’être complet : en pensant combler les manques de sa moitié, il trouve un sens à son existence ; en étant aimé en retour, il croit ses manques comblés. » Mais tout cela n’est qu’illusion.
Un sentiment de vide
Quand le voile se déchire, nous réalisons que nous sommes « existentiellement » incomplet. Le vide de l’appartement résonne avec celui que nous portons en nous. Un moment de vertige parfois vécu comme un passage du tout au rien. « Surtout lorsque nous avons besoin de l’autre pour soutenir une image idéale, forte et positive de soi. L’enjeu narcissique est alors si important que la réponse est dans la dépréciation, voire la dépression », note le psychiatre et psychanalyste Didier Lauru, auteur de Père-Fille, une histoire de regard (Albin Michel, 2006).
Une angoisse d’abandon
Avec cette question terrible qui, depuis le complexe d’OEdipe, nous taraude : ne suis-je donc pas aimable ? Car si, depuis la toute première séparation qu’est la naissance, nous avons appris à nous débrouiller seul, la fin du couple réveille aussi une angoisse d’abandon tout enfantine. Surtout pour les femmes, qui l’ont déjà vécue à deux reprises. Selon la théorie freudienne, rappelle Didier Lauru, « la petite fille veut inconsciemment que sa mère lui donne un phallus, son amour exclusif et un enfant. Contrariée de ne rien recevoir, elle le demande alors à son père. Nouvelle déception quand elle comprend qu’il aime sa mère et fait des bébés avec elle… »
Tandis que les garçons ne subissent qu’une seule renonciation à leur désir : « Déjà pourvus d’un phallus, ils ne se tournent que vers leur mère, le père étant un rival », ajoute le psychiatre. Comme lors de nos premières années, nous nous sentons impuissant, passif, vulnérable.
Reconnaître son chagrin
D’abord, parer au plus urgent : encaisser la violence de la perte, la peur du vide, de l’avenir, éponger la déception, panser nos blessures narcissiques… Peu à peu, se retrouver, et, chemin faisant, apprendre, grandir, se redéfinir.
Comment ? En commençant par reconnaître le chagrin. Tandis que le mot « rupture » banalise l’événement (tout le monde se sépare de nos jours), « en parlant de chagrin d’amour, j’admets la douleur, je prends ma place de sujet, souligne Valérie Blanco, donc mes responsabilités ». « Comme il y a eu coconstruction du couple, il y a coséparation », révèle Jean-Paul Sauzède, gestalt-thérapeute et auteur avec Daniel Grosjean de Trouver la force d’oser (InterÉditions, 2011). Ce n’est jamais le méchant qui part et le gentil qui est abandonné mais, « constatant l’impasse dans laquelle le couple s’est mis, l’un des deux s’est désinvesti et peut quitter l’autre sans trop de dommages », poursuit Didier Lauru.
Comprendre les raisons de la rupture
Pour nous qui restons seul, passé le nuage de haine qui nous permet de nous préserver en désignant l’autre comme coupable, il convient d’élucider ce qui a raté et comment nous avons participé à cet échec. « Quels projets avions-nous ensemble, quels engagements avions-nous pris ? Avions-nous réactualisé le contrat qui nous liait sur la fidélité, l’indépendance de chacun ? Qui avait le pouvoir, qui décidait des vacances, de l’éducation des enfants… ? » énumère Jean- Paul Sauzède. Autant de questions qui permettent, lorsque nous parvenons à y voir clair, d’éviter, plus tard, l’exact même fiasco. Si nous jouons toujours nos histoires d’amour sur le même air, nous pouvons en effet apprendre, d’un couple à l’autre, quelques variations. Une pointe de créativité, de souplesse, qui colore notre paysage de Sisyphe en quête d’affection…
Une occasion de se redéfinir
Le sevrage, le premier jour de crèche, de colo, les chagrins d’amitié, d’amour… Chaque expérience de séparation – et la douleur qui va avec – nous apprend pourtant un peu mieux l’essentiel : comment faire avec notre manque fondamental ? Une question angoissante, mais riche de promesses. La solitude nous offre alors l’occasion de nous redéfinir. Certains réalisent qu’« à trop avoir voulu coller aux attentes de leur conjoint, ils se sont perdus », rapporte le gestalt-thérapeute.
L’occasion est venue de se retrouver, de reprendre contact avec les amis délaissés, voire de tenter de nouvelles façons d’être. En constatant que nous ne nous effondrons pas, que nous pouvons compter sur notre entourage, la crise met aussi à jour des ressources, intérieures et extérieures, insoupçonnées ou oubliées. Petit à petit, nous découvrons que nous parvenons à vivre sans l’âme soeur. À rire sans elle. Et même à être bien tout seul. « À l’adolescence, traverser cette épreuve de la première déception amoureuse est le début de l’autonomie psychique », précise Didier.
La douleur apaisée, nous voici alors suffisamment averti pour faire « le pari de l’amour », propose Valérie Blanco : « Savoir que nous n’y trouverons jamais de satisfaction totale ne nous empêche pas de nous y risquer à nouveau, avec des attentes plus légères, moins existentielles. » Un « amour plus digne », disait Jacques Lacan, débarrassé de ses illusions. Un amour mûri par les chagrins précédents.
Les femmes souffrent-elles plus que les hommes ?
Oui, car le chagrin d’amour ravive, chez elles, la douleur de la castration. « Au moment où les enfants découvrent leurs différences, le petit garçon se définit par un sexe visible, la fille par une absence », souligne Valérie Blanco, psychanalyste. Un manque radical d’être qu’elle cherche toute sa vie à combler, en particulier dans la relation amoureuse. « Lors d’une séparation, reprend-elle, les femmes sont renvoyées à ce “rien”, au risque parfois de s’y identifier. »
Moins définis sur l’être, les hommes se questionnent eux sur leur capacité à avoir ce qu’il faut pour rendre une femme heureuse, et, notamment, la faire jouir. Une angoisse moins existentielle, qu’ils cherchent à apaiser au fil de quelques aventures. Sauf que, affirmait Lacan, « aimer féminise » : « Lorsqu’un homme aime vraiment, il accepte de voir qu’il est, comme nous tous, un être humain manquant », résume Valérie Blanco. Son chagrin d’amour est alors aussi dévastateur…
« Je n’ai plus peur d’être seule »
Marie-Hélène, 45 ans, trois enfants
« Quand il m’a quittée, tout mon être a volé en éclats. Deux mois durant, je suis restée allongée, inerte, sur mon lit, volets fermés, avec l’impression d’avoir échoué dans un désert, sans aucun point de repère. Je ne savais plus qui j’étais, j’étais perdue. Je m’enfonçais dans un puits sans fond et ne voyais pas d’issue possible. J’étais en manque de lui physiquement, dépendante, comme une droguée. Le médecin m’a prescrit un arrêt de travail. Peu à peu, j’ai refait surface et ressenti le désir de m’ouvrir à l’extérieur. En surfant sur le site Internet On va sortir, je suis tombée sur des ateliers de développement personnel que j’ai suivis. Ils m’ont donné envie d’approfondir. J’ai intégré l’École d’analyse transactionnelle de Montpellier.
Grâce aux cours et à la pratique, j’ai compris que, pendant toutes ces années, j’avais nié mon identité, mes besoins fondamentaux. Qu’en amour, j’avais accepté l’inacceptable pour être aimée. Ce comportement était lié à mon enfance. Je ne regrette pas la souffrance que cette rupture m’a infligée. Cette épreuve difficile a eu le mérite de me contraindre à me redéfinir, puis à retrouver confiance en moi. Je sais désormais ce que je veux, qui je suis. J’ai démissionné il y a peu de mon entreprise pour me consacrer à mes études et devenir psychothérapeute. Je me sens libérée de mes chaînes, je n’ai plus peur d’être seule. Il m’aura fallu deux longues années. »
Propos recueillis par Marie Le Marois
« Je me suis réveillé, libéré et léger »
Mikaël, 39 ans, un enfant
« Quand j’ai réalisé que ma femme me trompait, j’ai tout envoyé valser. Je me suis terré chez un ami, et j’ai vécu trois semaines de descente aux enfers. Je ne dormais plus, ne mangeais plus, ne travaillais plus. Je m’avachissais devant la télévision pour éviter de penser, je déroulais le film de nos dix ans de vie commune. J’avais envie de frapper cet homme qui avait pris ma femme, je courais tous les jours pour oublier. J’ai démissionné de mon travail. Mes amis m’ont recueilli un à un, entouré, écouté. Un jour de mai, je me suis réveillé, libéré et léger. J’ai cherché un appartement et écouté mes désirs. Je suis parti en Espagne suivre un stage de kitesurf de quatre jours. J’y suis resté six semaines. Je passais mes journées sur la plage. J’étais bien, en accord avec moi-même.
En septembre, j’ai réalisé mon rêve : créer ma propre entreprise, un fish spa. Avec du recul, je pense que cette infidélité m’a servi de prétexte pour rompre, cette rupture a fait office d’électrochoc. Depuis longtemps, nous vivions une relation destructrice. Et moi, je n’étais plus moi-même. Je m’étais enfermé dans une vie et un boulot qui ne me convenaient pas. La page n’est pas encore refermée, je ressens un sentiment d’échec. Mais j’ai repris confiance en moi. Je suis heureux. »
Surmonter une rupture amoureuse MAITRE VOYANT MARABOUT SASSOU
Surmonter une rupture amoureuse
Une rupture amoureuse nous plonge dans un univers de désarroi et de fragilité. Elle rouvre souvent de vieilles blessures incomplètement cicatrisées et représente de surcroît une grosse blessure narcissique. Plaqué(e), on se sent minable, on cherche parfois des excuses à l’autre, on se mine le moral en ressassant ses propres défauts ou en se remémorant les grands moments de bonheur de notre si belle histoire d’amour. Stop !
Tout échec est positif, celui-ci ne fait pas exception à la règle. Vous sortirez forcément grandi(e) de l’épreuve.
Changez-vous les idées
Tous les couples vivent plus ou moins en autarcie, et vous avez certainement dû faire une croix sur certaines activités pendant votre vie de couple. Seul(e), profitez donc de votre nouvelle liberté pour les retrouver. Sport, sorties, vie associative : choisissez des disciplines de groupe, qui vous permettront non seulement de vous changer les idées, mais aussi de faire de nouvelles rencontres et d'élargir votre cercle d'amis…
Travaillez
Investir dans votre vie professionnelle vous aidera à ne pas vous appesantir sur votre malheur, et vous permettra de récolter des satisfactions immédiates (succès, augmentations, félicitations du patron, nouvelles responsabilités…) qui vous aideront à retrouver un moral d'acier et une bonne confiance en vous. A la condition que vos horaires "à rallonge" ne durent pas toute la vie !
Faites des conquêtes… de courte durée
Rien de meilleur pour le moral que de séduire à nouveau, surtout quand on croyait qu’on ne trouverait plus jamais chaussure à son pied ! Aussi, si le coeur vous en dit, n’hésitez pas à rencontrer de nouveaux partenaires. A une condition : ne cherchez pas à tout prix une relation durable. "Au contraire, cette nouvelle conquête doit rester brève, car elle n’existe que pour combler le manque affectif, pour panser les plaies", explique un psy. Une vraie nouvelle histoire ne pourra se jouer que quand vous aurez véritablement accompli le deuil de votre couple. Patience !
Acceptez les difficultés
La blessure provoquée par la rupture s'accompagne souvent d'une baisse du désir sexuel de la femme. Chez l'homme, elle réactive la fragilité de la sexualité. Résultat, pour l'un et l'autre, c'est une période propice aux troubles de l'équilibre sexuel. Normal, quand on a, pendant plusieurs années, fait l’amour avec la même personne ! Si, avec un nouveau partenaire, vous éprouvez des difficultés sexuelles, ne vous angoissez pas : vous avez besoin d'une période d'adaptation. Si les pannes se prolongent, parlez-en à un sexologue (ou, si vous êtes une femme, à votre gynécologue).
Trouvez la bonne attitude face à l’autre
Si vous et votre "ex" avez des enfants, vous allez devoir signer l’armistice et entretenir des relations sinon cordiales, du moins polies avec l’autre parent. Sinon, vous pouvez couper les ponts. Vous voulez rester amis ? D’accord si, tous les deux, acceptez vraiment que votre relation amoureuse soit terminée, ce qui n’est pas facile des deux côtés ! Mieux vaut parfois ne plus se voir jusqu’à ce que la blessure soit cicatrisée.
N’hésitez pas à consulter
Si votre chagrin vous semble insurmontable, que vous pleurez jour et nuit et que vous sombrez dans la déprime, n'hésitez pas à consulter un psychothérapeute. Ils sont habitués à recevoir des personnes comme vous, qui viennent simplement parce qu’elles traversent une mauvaise passe, pour parler et être écoutées. Quelques séances de discussion vous aideront à remonter la pente.
Contact :
Email : grandmaraboutvodou@gmail.com
Tel : +229 66 72 50 65 
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